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Abonnez-vous ici >Aujourd’hui, on ne sait pas si la viande, le lait, les oeufs... proviennent d'animaux nourris avec des OGM ou pas. Pour Nature & Progrès Belgique, on a le droit de savoir et de choisir.
Comment savoir si le bœuf dans son assiette n’a pas mangé d’OGM (organismes génétiquement modifiés) ? Impossible, pour l’instant.
C’est pourquoi Nature & Progrès Belgique demande que la législation belge rectifie le tir. À travers sa campagne « OGM-Pesticides : J’ai le droit de savoir et de choisir ! » l’association revendique :
Le problème ? Il est multiple :
Le citoyen doit pouvoir accepter ou non le recours à des OGM pour la production de toutes ses denrées alimentaires.
À défaut d’un label « sans OGM » ou « nourri sans OGM » ou « issu d’animaux nourris sans OGM » harmonisé et réglementé au niveau européen, les pays de l’UE peuvent imposer un tel étiquetage, volontaire. Il existe déjà dans d’autres pays européens : France, Allemagne, Luxembourg, Autriche… Alors, pourquoi pas en Belgique ?
Nature & Progrès tentera de convaincre la Belgique d’instaurer un tel étiquetage. Ses arguments : les impacts sanitaires pour l’homme et les animaux d’élevage ainsi que les expériences positives de labellisation dans les pays voisins qui l’ont déjà mis en place.
Voir aussi : Qui veut des OGM ?