Se déplacer à vélo ? Tentant mais pas envie de rouler sous la pluie, trop compliqué avec les enfants… Voici nos conseils pour surmonter ces freins.
Il y a des questions que les cyclistes quotidiens entendent souvent : « tu fais du vélo même en hiver ? », « mais pour faire tes courses, tu prends ta voiture, j’imagine ? », « tu n’as pas peur quand tu roules en ville ? », « comment tu fais pour ne pas arriver tout transpirant au boulot ? »…
Le vélo à le vent en poupe, ça suscite de l’intérêt, de la curiosité mais aussi des doutes.
> Lire aussi : Pourquoi c’est si bon de rouler à vélo (électrique ou non).
Voici un florilège de freins courants et nos conseils pour les surmonter. Si on est tenté de faire du vélo, ce serait dommage de se décourager sans se renseigner. Le vélo est un véritable allié pour une mobilité plus durable et il peut se révéler très polyvalent au quotidien.
Sommaire :
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Objectivons d’abord la météo. Quand on se déplace à vélo, on roule sous la pluie moins de 10% du temps.[1] Et encore, ce ne sont pas nécessairement des grosses averses. Donc s’habiller avec des vêtements qui sèchent vite peut suffire. Les jours de pluie continue étant rares[2] on peut aussi attendre un peu avant d’enfourcher son vélo, lorsque l’emploi du temps le permet. L’idéal est toutefois de s’équiper de quelques basiques pour être paré pour les aléas de la météo belge.
L’incontournable c’est la veste légère. On la choisit de préférence respirante et munie d’ouvertures sous les bras[3]. En alternative, on peut opter pour un poncho à enfiler par-dessus sa tenue. Facile à enfiler mais on est un peu moins libre de ses mouvements et la prise au vent peut être un problème. Pour les jours où il pleut fort, on peut y ajouter un pantalon de pluie facile à enlever sans se déchausser (zippé sur les ¾ de la hauteur, voire entièrement). Si ces deux derniers ont des poches ou une ouverture qui permettent l’accès aux poches du vêtement « de ville », c’est encore mieux.
Dans tous les cas, on choisit ces vêtements légers (< 300g). S’ils se replient dans une pochette de transport intégrée (façon k-way), c’est un sérieux plus au quotidien. À garder au fond de son sac ou accroché à celui-ci. Ça n’a l’air de rien, mais plus le vêtement est pratique et compact, moins on hésite à le prendre avec soi tous les jours.
Côté style, certains fabricants font des efforts pour proposer des vêtements pratiques sur lesquels il n’est pas écrit « regardez, je suis un cycliste » quand on se balade à pied.
> Lire aussi : « Comment choisir des vêtements d’extérieur éco-responsables ? »
On peut aussi équiper son vélo de garde-boues assez larges avec une bavette, ce qui limite les éclaboussures.
Pour les très grosses pluies, des couvre-chaussures (guêtres) sont un plus, surtout si on porte des chaussures qui ne sont pas résistantes à l’eau.
Pour la tête, la capuche de la veste protège de la pluie, ainsi que l’éventuel casque. Certains casques intègrent même une visière et une housse anti-pluie !
Par temps froid, on utilise les mêmes vêtements, mais on ajoute une couche. Un pull fin en laine, assez ajusté, en-dessous d’une veste coupe-vent tiendra chaud même s’il gèle. Au pire on a un peu froid pendant 3 minutes et puis le fait de pédaler nous réchauffe.
Enfin, une cagoule ou un tour de cou en laine (en mérino par exemple [4]) et des gants étanches à l’air sont vraiment utiles quand il fait froid.
> Voir plus de conseils : « À vélo en hiver, tout roule »
Bien sûr les autres usagers sont censés adapter leur vitesse à la visibilité mais veiller à être bien visible (et pas seulemnt quand il fait noir) est un réflexe de survie en tant que cycliste.
Outre l’équipement obligatoire (feu avant et arrière, catadioptres…), il est utile de porter des vêtements clairs ou réfléchissants et de multiplier les accessoires voyants.
On peut par exemple ajouter :
un deuxième phare à l’avant (attention à ne pas éblouir les autres, piétons, cyclistes ou automobilistes) et/ou à l’arrière (clignotant, pour attirer l’attention)
des éléments lumineux ou réfléchissants au niveau du casque, sur le sac à dos, sur les sacoches…
Certes, ça peut faire sapin de Noël mais mieux vaut un sapin de Noël vivant qu’un arbre mort !
Il faut bien reconnaître que la longue robe blanche ou la chemise un peu trop ajustée ne sont pas les tenues les plus confortables pour se déplacer à vélo. Pour autant, pas besoin de sortir la panoplie du parfait cycliste (mais si, vous savez : short moulant, lunettes de soleil et casque profilé).
Il est tout à fait possible de se déplacer à vélo et de rester chic.[5] Sinon le « vélotaf »[6] n’aurait pas autant de succès. Aux Pays-Bas par exemple, il est normal de croiser des cyclistes en complet veston, en petites chaussures habillées, en jupe, sans casque et qui transportent les courses de la semaine. La preuve que c’est aussi culturel (et lié à la qualité des aménagements, protégés, qui nécessitent au final moins d’équipement).
Pas encore prêt pour ça ? Voici quelques astuces :
On peut jouer la sécurité et se changer quand on arrive à destination. C’est envisageable quand on doit parcourir de longues distances et que le lieu d’arrivée le permet. Bravo aux employeurs qui mettent même des douches à disposition sur le lieu de travail, ça rend vraiment le « vélotaf » confortable, quelles que soient la distance et la météo !
> Lire aussi : Comment encourager la mobilité durable de ses employés ?
On peut aussi utiliser des accessoires pour « adapter » ses vêtements de ville au vélo. Par exemple mettre un short ou un shorty sous sa jupe si on ne se sent pas confortable à faire du vélo en jupe.[7] Il existe aussi des attaches qui permettent d’éviter qu’une robe longue se prenne dans la chaîne ou vole trop au vent.[8]
On peut aussi choisir de n’enlever que les vêtements les plus sensibles : de belles chaussures par exemple, que l’on transporte dans une sacoche ou un coffre à poser sur le porte-bagage.
Le choix du vélo a aussi son importance. Un vélo à cadre ouvert muni d’une courroie plutôt qu’une chaîne (cher, mais ne salit pas), avec un dérailleur intégré au moyeu (pour ne pas dérailler et devoir mettre les mains dans le cambouis) et électrique (pour choisir de faire moins d’effort si nécessaire) sera plus conciliant au quotidien.
> Lire aussi : Comment bien choisir son vélo électrique ?
Enfin, rien n’empêche d’utiliser des sur-vêtements (poncho, pantalon de pluie…, voir plus haut) pour protéger ses vêtements et soi-même des averses.
Par contre, côté coiffure il n’y a pas de miracle. Si on a des cheveux longs, le plus simple est d’adopter une coiffure qui rentre sous un casque : tresse(s), queue de cheval basse, cheveux lâchés. Le chignon haut ou la coiffure « jet d’eau » (vive les années 80 !) ne sont pas compatibles avec un casque. Pour la coupe mulet, on n’a pas essayé.[9] Dans tous les cas, on préfère un casque bien aéré, qui limite la transpiration du cuir chevelu.
> Voir nos conseils pour bien choisir son casque vélo.
Il faut être réaliste : aucun système antivol n’est infaillible. Même un excellent cadenas ne fait pas le poids contre une disqueuse. Mais encore faut-il que le voleur se balade avec une disqueuse à batterie… Bref, c’est comme quand on protège sa maison : aucun système n’arrêtera un voleur bien équipé et motivé. Mais on peut choisir du bon matériel et adopter quelques réflexes pour limiter les risques et décourager la plupart des voleurs.
On gare idéalement son vélo dans un endroit fréquenté et lumineux (si c’est la nuit).
On l’attache par le cadre à un élément au moins aussi solide que son cadenas. On se méfie des poteaux de signalisation dont les panneaux peuvent se déboulonner (eh si, on peut du coup faire passer le vélo par au-dessus…) ou de la grille de chantier dont les barreaux sont fins et faciles à couper. On évite aussi les râteliers à vélos qui ne permettent d’attacher que la roue, probablement conçus par quelqu’un qui n’avait jamais fait de vélo.
Idéalement on évite que le cadenas soit facile à attaquer : pas de cadenas posé sur un élément solide (idéal pour taper dessus à la masse) ou dont les parties sont bien dégagées. Un cadenas « serré »au plus près du vélo (cadre, roue…) est plus difficile à couper à la disqueuse si on veut éviter de ruiner le vélo.
On investit dans un bon cadenas. Ça a un coût mais le vélo aussi (surtout si c’est un vélo électrique !). Les bons cadenas sont souvent des modèles en U ou des grosses chaînes. Un cadenas en U de qualité est épais, lourd et muni d’une serrure avec une clé de sécurité. Certains modèles sont mêmes équipés d’une alarme sonore, voire d’alertes envoyées sur le téléphone en cas de tentative de vol.
> Voir nos conseils pour le choix du cadenas vélo.
Surtout pour les endroits plus risqués, on ajoute un deuxième cadenas en U, voire un antivol qui bloque la roue (« antivol arrêt minute »). Et on sécurise aussi la selle et les roues avec des boulons antivols. Pour les roues il existe des boulons qui ne peuvent s’enlever que si le vélo est à plat (impossible s’il est attaché). On retire aussi tout ce qui s’enlève facilement : un phare additionnel, le compteur (si vélo électrique), etc.
Il y a aussi de plus en plus de box ou de parkings sécurisés pour vélos, plutôt en Flandre ou à Bruxelles cependant. Par exemple, la carte des parkings sécurisés pour vélos à Bruxelles.
Si on n’a aucun endroit fermé pour stocker son vélo ou si on vit / travaille dans un endroit risqué, le meilleur choix sera peut-être le vélo pliant, que l’on emporte chez soi ou à son bureau.
Enfin, les assurances vélo sont aussi plus facilement disponibles en Belgique maintenant (à lire sur le site du Gracq et le très complet tableau comparatif des assurances par Pro Vélo).
Aller à la ferme, au supermarché ou à l’épicerie bio et ramener de quoi manger pour la semaine ? À moins d’avoir une grande famille ou de boire de l’eau en bouteille, c’est possible. [10]
Si on a un vélo classique (électrique ou non), le plus simple est de s’équiper de sacoches à accrocher au porte-bagage. On préfère des modèles solides et étanches car une fois remplies, elles peuvent transporter un poids conséquent.
On choisit aussi un modèle muni d’attaches réglables pour pouvoir adapter la sacoche au porte-bagage de différents vélos. La plupart des modèles des marques « historiques » (Ortlieb, Vaude…) répondent à ces critères.
Une sacoche compartimentée est un plus pour transporter des choses plus petites ou tout simplement glisser son portefeuille ou son téléphone (et ne pas devoir sortir les poireaux et les carottes à la caisse pour trouver sa carte de banque).
Sur un vélo, on peut mettre deux sacoches, de part et d’autre du porte-bagage, et une dessus. C’est plus équilibré mais il n’est pas indispensable d’en avoir de chaque côté, même une sacoche lourde ne déstabilise pas le vélo quand on roule.
On peut aussi accrocher un sac au guidon voire des sacoches au niveau des roues avant. Mais c’est surtout pour des petites courses (panier au guidon) ou pour les voyages à vélo (sacoches sur la roue avant).
Le problème des sacoches, c’est qu’elles ne sont pas sécurisées, donc on doit les emporter quand on gare son vélo. Si on ne veut pas se les trimballer pour quelques petites courses, il existe aussi des coffres (comme pour les motos ou les scooters) que l’on peut fixer sur le porte-bagage.
Bien sûr c’est du plastique avec une petite serrure, on n’y stockera pas son PC pour la nuit, mais pour des courses en ville, c’est très pratique. Prévoir un sac de courses qui rentre parfaitement dedans, pour être sûr que ça rentre dans le coffre une fois les courses terminées.
Si les sacoches sont faciles à utiliser sur n’importe quel vélo équipé d’un porte-bagage, leur poids une fois remplies peut devenir gênant (maniement du vélo à l’arrêt, solidité du porte-bagage, attaches des sacoches, poids sur la roue arrière…). De plus une sacoche ne peut pas vraiment transporter des achats un peu encombrants et pas très souples (un colis par exemple).[11]
Pour transporter des choses plus lourdes ou encombrantes, on peut aussi accrocher une remorque à son vélo. Certains modèles sont même des caddys à tirer quand on fait ses courses et qu’on accroche au vélo après.
Enfin, si l’on transporte souvent des choses lourdes ou des courses, il devient intéressant de choisir un vélo cargo. Triporteur ou deux roues avec bac ou encore « longtail », il y a différentes façons d’envisager le transport. Le longtail a l’avantage d’avoir le même gabarit qu’un vélo normal, il n’a par contre pas de bac comme les cargos traditionnels à bac, plus adaptés pour transporter des caisses par exemple. Quel que soit le type de cargo, ces vélos sont plus adaptés pour le transport qu’un vélo classique. Le poids est mieux réparti, plus bas et la zone de chargement plus grande (bac, porte-bagage long…).
> Lire aussi : l’article du Gracq sur le transport de « charges » et le tableau comparatif de Pro Vélo pour les différents modèles de vélos cargo.
Pourtant, des familles à vélo, on en voit de plus en plus !
Il existe diverses solutions pour rouler à vélo, même avec des (très) jeunes enfants :
Mettre un siège enfant sur le porte-bagage (voire plusieurs sur un vélo « longtail »). Attention à vérifier que le porte-bagage est bien homologué pour supporter le poids du siège et de l’enfant.
Opter pour un vélo cargo ou une remorque à tirer. Bien entendu, on veille à avoir des sièges et des ceintures de sécurité. La remorque est plus abordable mais les vélos-cargos offrent un grand volume de chargement et sont donc pratiques pour transporter plusieurs enfants de façon confortable. Ils existent en de multiples versions.
Choisir un vélo longtail (vélo rallongé à l’arrière). Il est plus maniable et nécessite moins de place pour le stockage.
Utiliser un « demi-vélo » attaché à son propre vélo, pour les enfants de 4 à 9 ans.
Chaque option a ses avantages et inconvénients. Pro Velo propose un guide très complet sur les différentes possibilités et un tableau comparatif avec des fiches détaillées pour chaque modèle testé. L’Adac en Allemagne a testé la sécurité de différents modèles de cargos. Cet article de Weelz en reprend les résultats avec quelques réflexions au passage.
> Lire aussi l’article du Gracq sur le transport des enfants ainsi que le tableau comparatif de Pro Vélo pour les différents modèles de vélos cargo.
Les vélos cargo coûtent plusieurs milliers d’euros. La Wallonie et certaines communes proposent des primes.
> Retrouvez notre liste mise à jour : Quelles sont les primes à l'achat d'un vélo (électrique ou non)?
Quoi qu’il en soit, mieux vaut essayer avant d’acheter pour que cet engin devienne un vrai partenaire de votre mobilité.
Quand les enfants sont plus grands, ils peuvent aussi aller tous seuls à l’école à vélo. Pro Vélo propose toute une série de formations et activités à destination des écoles. On peut aussi inscrire ses enfants à une formation spécifique (formation pour enfants « envol »).
Certaines écoles organisent aussi des ramassages scolaires à vélo, les vélobus. De quoi laisser ses enfants gagner en autonomie tout en ayant l’esprit serein car un encadrement est organisé.
Le vélo ça ne s’oublie pas, dit-on. Mais l’adage populaire se limite à tenir sur son vélo, pas à rouler dans des villes où la circulation peut être assez sportive…
Suivre une formation « à vélo dans le trafic » peut être une bonne idée. On y apprend comment anticiper le comportement des autres usagers, se positionner sur la route (et « prendre sa place »), aborder un rond-point, etc. Si ça semble évident de prime abord, l’expérience de cyclistes urbains aguerris est vraiment précieuse.
Le Gracq et Pro Vélo organisent ce genre de formations. En prime, les deux associations proposent aussi des ateliers pour savoir comment entretenir et régler soi-même son vélo.
Autre bonne idée : préparer ses trajets. Surtout au début, on préfère des portions de RAVEL, des voies cyclables et des rues calmes, plus sécurisantes. Plusieurs outils sont utiles :
les cartes éditées par la commune (pour connaître aussi les parkings, les sens uniques limités, par exemple ici pour Bruxelles) ;
les itinéraires adaptés vélo des sites et applis traditionnels de cartographie comme Google Maps, Openroute ou encore l’appli OSMand qui permet d’utiliser ses propres tracés ;
un site spécialisé comme cycle.travel qui combine les différentes routes pour proposer un itinéraire adapté. Il y a même un lien StreetView à chaque intersection ! Compatible avec l’appli OSMand pour gérer les tracés cycle.travel quand on est en route et « offline ».
Enfin, même si ce n’est pas obligatoire, on peut mettre un casque [12] avant d’enfourcher son vélo et on veille à être bien visible à tout moment, surtout le soir (voir détails plus haut).
Pourtant, emporter son vélo permet de faire de belles balades sur place sans devoir louer de bicyclette et sans dépendre de la voiture.
Diverses options pour emporter les vélos :
Emmener son vélo dans le train. On se renseigne sur les conditions en fonction de la compagnie ferroviaire.[13] Des opérateurs privés proposent aussi des voyages clé en main combinant (son propre) vélo et train.[14]
Transporter son vélo en voiture. Il est possible de mettre un porte-vélos sur le toit, sur le hayon arrière ou sur un attache-remorque. Sur le toit ou le hayon, on mettra plutôt des vélos « classiques ». Pour les vélos lourds ou électriques (+ de 15 ou 20kg par vélo), un système sur boule est à préférer, mais c’est aussi plus cher (facilement 800 € sans l’attache-remorque).
Certaines personnes s’organisent même des vacances 100% à vélo, en Belgique ou à l’étranger. Même en famille, oui, oui. Une façon de découvrir une région à un rythme plus lent, au grand air.
> Voir les bonnes adresses utiles pour un voyage écologique
Si on n’a pas de vélo, on peut utiliser un système de vélos partagés pour les trajets ponctuels (par exemple à Bruxelles, Namur, dans les gares belges….). Les Villo et Li Bia Vélo (Namur) ont même leur appli. Plus d’infos sur les vélos partagés sur le site du Gracq.
Si on souhaite disposer d’un vélo pour plusieurs jours, semaines ou mois, Pro Vélo en loue (par exemple à Namur, mais ils en louent un peu partout à Bruxelles et en Wallonie), tout comme Swapfiets. Cambio permet aussi de louer un vélo-cargo à Gand.
L’essai est concluant ? Envie d’acheter un vélo ? Certaines régions et communes offrent des primes.
[1] Selon un cycliste néerlandais qui a analysé 9 ans (!) de trajets de 40’ à vélo. Il a compté les trajets où il a eu de la pluie. Données recoupées avec celles de l’IRM en Belgique par le Gracq.
[2] Bon, d’accord, pas en 2021.
[3] Les vestes dites « techniques » ne sont pas souvent munies de ces ouvertures, mais elles existent.
[4] Outre que la ressource est renouvelable, la laine a beaucoup moins tendance à sentir le vieux chacal après quelques utilisations, par rapport aux autres textiles. Utile pour une cagoule de cycliste…
[5] Le témoignage de Michèle de Cyclamelle est intéressant à ce sujet. Certes les vêtements proposés sont du haut de gamme (et fabriqués en France), mais le témoignage n’en reste pas moins intéressant.
[6] Le fait se rendre au travail (au taf) à vélo.
[7] C’est assez personnel, certaines personnes s’en moquent, d’autres préfèrent éviter de trop se dévoiler.
[8] Un chouette article qui détaille certaines solutions (pince, « porte-jartelle », le pièce et l’élastique…).
[9] On n’a d’ailleurs jamais vu MacGyver à vélo.
[10] Et encore, on en connaît qui ont déjà ramené un frigo en vélo-cargo.
[11] La Bakkie est assez populaire pour les transporteurs-fous. Son système de sangle permet de transformer la sacoche en « pieuvre ». À lire sur Weelz.
[12] Porter ou pas le casque, deux articles très intéressants sur le site du Gracq : https://www.gracq.org/le-casque et https://www.gracq.org/actualites-du-velo/casque-chasuble-peur
[13] Plus d’infos sur le site de la SNCB et sur la page du Gracq. Ou sur les sites des compagnies nationales (comme la SNCF pour le France ou la DB pour l’Allemagne).
[14] Par exemple railtrip.travel.
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