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Abonnez-vous ici >Clarifier les obligations des fabricants, encourager la réparation, outiller les citoyens et citoyennes… Voici ce que propose la nouvelle directive européenne.
Cette directive européenne[1] est en discussion en vue de renforcer le droit des consommateurs et consommatrices à la réparation. L’objectif est de lever les freins qui entravent les réparations : coût, disponibilité des pièces de rechange et des services de réparation…
Le fabricant sera ainsi obligé de réparer certains appareils couverts par la directive ecodesign : gros électros (lave-linge, lave-vaisselle, réfrigérateurs…), écrans TV et écrans d’ordinateurs, aspirateurs, smartphones et tablettes…
On parle à la fois de produits qui sont encore sous garantie ou non.
> À ce sujet, l’ADEME a introduit via une action de communication le concept de « dévendeur » : plutôt que de pousser à l’achat celui-ci encourage le client à réparer son objet :
Source : ADEME
La directive propose plusieurs choses :
La réparation est un pilier essentiel de l’économie circulaire. Elle permet
Les États membres de l’UE disposeront de 2 ans pour transposer la directive dans le droit national.
En attendant on peut se fier à l'indice de réparabilité disponible en France et bientôt obligatoire en Belgique.
[1] Directive établissant des règles communes visant à promouvoir la réparation des biens - COM(2023) 155 final